Le basket, une histoire de famille pour Alaïs Joblon, 19 ans, qui est une jeune joueuse évoluant dans le club de Lons Basket, à côté de Pau, avec un rôle d’arrière/ailière, et qui évolue en R3 aujourd’hui après être passée de longues années dans celui de Biganos puis dans l’entente avec Audenge. Comment cette jeune basketteuse gère t-il cette situation sans jouer et quels sont ses objectifs dans l’avenir ? Elle s’est confiée en exclusivité pour 5by5 !
Salut Alaïs, Tous nos voeux de bonheur pour commencer, parles-nous de toi, qui es-tu, situation scolaire et basket ?
« Bonjour, Merci bien, je me présente, je suis une jeune fille de 19 ans, je m’appelle Alaïs Joblon, je fais un BTS bioanalyse et contrôle, et je joue en Seniors dans un club palois qui est Lons basket. »
Tu fais donc du basket, pourquoi as-tu choisi ce sport là ?
« A vrai dire, je suis née dans ce sport, mon papa était entraineur et ma maman, une joueuse, tous deux de département, mais un grand coeur à jouer qui m’ont transmis. »
Quel est ton parcours ?
« Je ne vais pas mentir, je n’ai pas un parcours très long non plus, ça fait depuis que j’ai 4 ans que je fais du basket et je suis resté 13 ans dans mon premier club qui est Biganos basket club avec qui à partir de mes 14 ans, on a fait une entente avec Audenge donc jusqu’à mes 17 ans, j’ai joué pour cette entente. Maintenant depuis 2019, je joue pour Lons basket. Tous ses clubs sont très familles et nous n’avons en aucun cas envie d’y partir à chaque fois… »
Aujourd’hui, où joues-tu ? Dans quel club ? A quel poste ? A quel niveau ?
« Je joue à Lons, à quelques kilomètres de Pau pour ceux qui ne connaissent pas, je suis arrière/aillière, et j’évolue en R3 en ce moment. »
Comment juges-tu tes performances en général, personnellement et collectivement ? Es-tu satisfaite de toi ?
« Alors comment dire que je suis très exigeante avec moi-même, ce qui me porte à défaut pour moi si je loupe 2/3 shoots, et que même si j’en marque plein derrière, je vais dire ma phrase favorite : « De toute façon, on va arrêter de parler, j’ai été nul.. » . Sur le plan collectif, rien à dire j’ai vraiment une équipe complète avec laquelle tu apprends et progresse quoi qu’il arrive ! Pour dire, c’est un groupe très encourageant à n’importe quel moment d’un match, ce sont des filles qui quoi qu’il arrive, si tu fais une bêtise te le diront, mais si tu fais quelque chose de bien, te le dirons aussi sans hésiter ! »
Comment as-tu vécu la période de mars à juin sans basket suite au confinement et de nouveau depuis fin octobre, qu’est-ce qui te manque le plus ?
« Cela a été dur mais j’ai la grande chance d’avoir un city stade à 800 mètres de chez moi donc j’étais dans la distance des 1 km pour faire des shoots une fois de temps en temps, le collectif qui est une base du basket, c’est ça qui m’a manqué le plus ! »
Revenons au terrain, quels sont tes objectifs à court et long terme ?
« Mes objectifs à court et long terme sont les mêmes, c’est progresser jusqu’à devenir meilleure, prendre de plus en plus de plaisir quand je suis sur le terrain ! »
Pour finir, aurais-tu des dédicaces à faire passer ?
« Oui je veux dire un grand Merci à toutes les personnes que j’ai croisé pendant mon parcours basket parce que oui j’en ai croisé du monde au bout de 15/16 ans de basket. Je les remercie de m’avoir appris tout ce que je sais aujourd’hui car c’est grâce à eux que j’ai mon niveau aujourd’hui. MERCI vraiment ! »
Un grand Merci à Alaïs Joblon à qui l’on souhaite le meilleur !
